19 août 2009

Le journal allemand Metal Hammer publiera dans son prochain numéro une interview de Paul Landers. Voici les informations à retenir :

18 à 20 chansons ont été enregistrées, mais le groupe avait perdu sa direction, et l'album a été quatre fois entièrement re-travaillé. C'est l'album le plus dur que nous ayons jamais fait - au moins au niveau de l'effort, raconte Paul.

Les idées de chansons sont apparues lors de sessions de jam quotidiennes, une "gymnastique matinale" en quelque sorte. Ce processus a été le premier, puis le deuxième a eu lieu dans un studio à Berlin. L'album a ensuite été répété en live, au château de Beesenstedt. Pour certaines chansons, il y avait sept versions différentes puisqu'à chaque processus elles sonnaient différement. Selon lui, les chansons sonnaient au début comme du metal classique, pas mauvais, mais sans plus. Puis nous avons rammsteinisé toutes les chansons.

Paul s'est félicité de la batterie et a qualifié les prises de vue de parfaites. Toutefois, le groupe a eu des problèmes avec le studio de San Francisco, qui ne s'est pas révélé conforme à ses attente. Paul raconte : Si l'on considère mon seuil de tolérance à la souffrance, l'album devrait coûter 60 ou 70 euros. Je veux évidemment pas cet argent, mais ça correspondrait à peu près à la valeur à laquelle j'ai souffert. Je suis également heureux pour les gens, parce c'est devenu un bon album.

Paul parle aussi de deux chansons dont l'avenir est incertain, Frühling in Paris ("Printemps à Paris"), une ballade, et Roter Sand ("Sable rouge"), une chanson acoustique avec orchestre, une ballade typique de Rammstein.

Merci à Rammstein-Austria.com

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