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  • 4 months later...

J'vois que je suis la première à répondre... Y'a pas beaucoup à interpréter... Il s'agit d'un couple, ils sont au bord de l'eau, et la femme annonce à son partenaire qu'elle est malade et qu'elle va bientôt mourir. Et lui demande un dernier baiser. Et il la console, voila... En bref, une chanson magnifique MAIS triste... Assez originale de la part de Rammstein, je dirais. D'autant plus qu'à la fin, on comprend qu'elle finit bel et bien par mourir.

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  • 4 years later...

Je déterre une fois encore un vieux sujet pour vous proposer mes réflexions sur ce texte. 

 

« Nebel » est une chanson relativement peu difficile à comprendre, toutefois le texte de Lindemann révèle, comme toujours (ou presque!), une certaine subtilité.

 

Il nous raconte ici l'histoire de deux êtres qui s'aiment, « Ils se tiennent étroitement enlacés / Une union charnelle de si longue date », mais qui arrivent au bout de leur histoire : « Elle veut lui dire la vérité / […] / Elle porte le crépuscule dans sa poitrine / Elle sait qu'elle doit perdre la vie ». Ainsi la femme doit mourir, c'est une scène d'adieu, les deux personnages vivent leurs derniers moments ensemble : « Et puis il l'a embrassé / Là où la mer prend fin / Ses lèvres (à elles) délicates et pâles / Et ses yeux (à lui) se mouillent ».

 

L'image de la plage sur laquelle se trouvent les deux protagonistes évoquent très bien l'idée de séparation, de rencontre inaccomplie : « Là où la mer prend fin », « Là où la mer effleure la terre ». Les deux éléments, la terre et la mer, se touchent mais ne se mélangent jamais, la rencontre se fait mais reste une relation avortée ou vouée à l'échec. Plus traditionnellement, cette image évoque la mort : le passage vers l'autre monde. C'est l'image du Styx que l'on doit traverser pour atteindre le monde des morts.

 

L'interprétation du texte est intéressante dans le fais de savoir et comprendre la relation entre les deux personnages. À la première lecture, il s'agit d'une couple : « Ils se tiennent étroitement enlacés / Une union charnelle de si longue date / […] / Et puis il l'a embrassée / […] / Ses lèvres (à elle) délicates et pâles / Et ses yeux (à lui) se mouillent ». La femme apprend à son amant qu'elle est malade (« Elle porte le crépuscule dans sa poitrine ») et qu'elle va mourir. Selon moi ceci constitue un premier niveau d'interprétation.

 

Le texte peut être aussi lu à la lumière du titre de l'album auquel il appartient : Mutter. En ce sens, il s'agirait d'une relation mère-fils. L' « union charnelle de si longue date », si elle évoque une relation sensuelle, peut aussi évoquer le fait que le personnage masculin est constitué à partir de la chair de sa mère. « Elle pose sa tête sur ses genoux / Et demande un dernier baiser » : les rôles parent-enfant sont ici inversés, ce n'est plus la mère qui berce sont fils et le console, mais le fils qui accompagne sa mère pour son dernier voyage. L'ambiguité de cette relation qui semble d'abord montrer des amants ne s'oppose pas véritablement à la seconde interprétation : cette ambiguité révèle en quelque sorte le complexe d'Oedipe.

 

L'interprétation du titre même de la chanson semble aller dans le sens d'une relation mère-fils. En effet, « Nebel » signifie brouillard, évoquant la mort, l'inconnu qu'elle représente et l'état dans lequel elle laisse les personnes qui doivent rester dans ce monde-ci. Mais « Nebel » est un anacyclique, un mot qui présente toujours un sens si on le lit à l'envers : « Nebel » devient « Leben » qui signifie vivre. Ainsi, si la mère doit mourir, le fils doit vivre. Si le corps est périssable, les parents vivent à travers leurs enfants, la chair de leur chair.

 

Lindemann décrit ici une épreuve difficile de l'existence, la séparation définitive et irréversible qu'est la mort, le brouillard qu'elle représente pour celui qui s'en va et qui ne sait pas ce qu'il y a après, mais également pour celui qui reste et qui vivre avec sa peine. Malgré cela, il y a l'affirmation d'une certaine immortalité : nous vivons à travers notre descendance. La mélancolie qui emprunt la chanson est à l'image de douleur, du brouillard qu'est la vie. Toutefois le constat n'est pas complètement pessimiste : « Le dernier baiser / Il ne s'en souvient plus ». On peut interpréter ces derniers vers comme l'oubli de la peine, le personnage est allé de l'avant, a continué à vivre.

 

 

Que la mort de la Mère soit réelle ou symbolique, le détachement est nécessaire pour exprimer sa personnalité propre, pour évoluer vers son état d'adulte, pour affirmer une véritable maturité. Ainsi, l'album se clôture sur la mort de la Mère : Rammstein met le point final à un cycle. Lorsque j'ai fais quelques remarques sur la cohésion de l'album, je concluais de cette manière : 

« Mutter peut être vu comme une transition dans les thématiques abordées par le groupe qui essaye de panser les blessures du cœur – Herzeleid – et du désir – Sehnsucht – en entreprenant une démarche que l'on pourrait qualifier de psychanalytique. Si on peut dire de ce troisième album qu'il est (encore et toujours) torturé, il marque un passage vers la maturité du groupe qui s'exprimera pleinement dans Reise, Reise. La réconciliation symbolique avec la Mère amènera une maturité dans la relation à l'être aimé. Cela ne veut pas dire qu'on ne trouvera plus chez Rammstein des thèmes durs, et que la relation à l'autre sera moins destructrice, mais leurs traitements, dans l'écriture, se fera manière plus « adulte ». »

Ces remarques peuvent aussi s'appliquer à « Nebel ». 

Edited by CyrBrennt
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  • 2 years later...
Le 11/01/2014 à 23:20, CyrBrennt a dit :

Je déterre une fois encore un vieux sujet pour vous proposer mes réflexions sur ce texte. 

 

« Nebel » est une chanson relativement peu difficile à comprendre, toutefois le texte de Lindemann révèle, comme toujours (ou presque!), une certaine subtilité.

 

Il nous raconte ici l'histoire de deux êtres qui s'aiment, « Ils se tiennent étroitement enlacés / Une union charnelle de si longue date », mais qui arrivent au bout de leur histoire : « Elle veut lui dire la vérité / […] / Elle porte le crépuscule dans sa poitrine / Elle sait qu'elle doit perdre la vie ». Ainsi la femme doit mourir, c'est une scène d'adieu, les deux personnages vivent leurs derniers moments ensemble : « Et puis il l'a embrassé / Là où la mer prend fin / Ses lèvres (à elles) délicates et pâles / Et ses yeux (à lui) se mouillent ».

 

L'image de la plage sur laquelle se trouvent les deux protagonistes évoquent très bien l'idée de séparation, de rencontre inaccomplie : « Là où la mer prend fin », « Là où la mer effleure la terre ». Les deux éléments, la terre et la mer, se touchent mais ne se mélangent jamais, la rencontre se fait mais reste une relation avortée ou vouée à l'échec. Plus traditionnellement, cette image évoque la mort : le passage vers l'autre monde. C'est l'image du Styx que l'on doit traverser pour atteindre le monde des morts.

 

L'interprétation du texte est intéressante dans le fais de savoir et comprendre la relation entre les deux personnages. À la première lecture, il s'agit d'une couple : « Ils se tiennent étroitement enlacés / Une union charnelle de si longue date / […] / Et puis il l'a embrassée / […] / Ses lèvres (à elle) délicates et pâles / Et ses yeux (à lui) se mouillent ». La femme apprend à son amant qu'elle est malade (« Elle porte le crépuscule dans sa poitrine ») et qu'elle va mourir. Selon moi ceci constitue un premier niveau d'interprétation.

 

Le texte peut être aussi lu à la lumière du titre de l'album auquel il appartient : Mutter. En ce sens, il s'agirait d'une relation mère-fils. L' « union charnelle de si longue date », si elle évoque une relation sensuelle, peut aussi évoquer le fait que le personnage masculin est constitué à partir de la chair de sa mère. « Elle pose sa tête sur ses genoux / Et demande un dernier baiser » : les rôles parent-enfant sont ici inversés, ce n'est plus la mère qui berce sont fils et le console, mais le fils qui accompagne sa mère pour son dernier voyage. L'ambiguité de cette relation qui semble d'abord montrer des amants ne s'oppose pas véritablement à la seconde interprétation : cette ambiguité révèle en quelque sorte le complexe d'Oedipe.

 

L'interprétation du titre même de la chanson semble aller dans le sens d'une relation mère-fils. En effet, « Nebel » signifie brouillard, évoquant la mort, l'inconnu qu'elle représente et l'état dans lequel elle laisse les personnes qui doivent rester dans ce monde-ci. Mais « Nebel » est un anacyclique, un mot qui présente toujours un sens si on le lit à l'envers : « Nebel » devient « Leben » qui signifie vivre. Ainsi, si la mère doit mourir, le fils doit vivre. Si le corps est périssable, les parents vivent à travers leurs enfants, la chair de leur chair.

 

Lindemann décrit ici une épreuve difficile de l'existence, la séparation définitive et irréversible qu'est la mort, le brouillard qu'elle représente pour celui qui s'en va et qui ne sait pas ce qu'il y a après, mais également pour celui qui reste et qui vivre avec sa peine. Malgré cela, il y a l'affirmation d'une certaine immortalité : nous vivons à travers notre descendance. La mélancolie qui emprunt la chanson est à l'image de douleur, du brouillard qu'est la vie. Toutefois le constat n'est pas complètement pessimiste : « Le dernier baiser / Il ne s'en souvient plus ». On peut interpréter ces derniers vers comme l'oubli de la peine, le personnage est allé de l'avant, a continué à vivre.

 

 

Que la mort de la Mère soit réelle ou symbolique, le détachement est nécessaire pour exprimer sa personnalité propre, pour évoluer vers son état d'adulte, pour affirmer une véritable maturité. Ainsi, l'album se clôture sur la mort de la Mère : Rammstein met le point final à un cycle. Lorsque j'ai fais quelques remarques sur la cohésion de l'album, je concluais de cette manière : 

« Mutter peut être vu comme une transition dans les thématiques abordées par le groupe qui essaye de panser les blessures du cœur – Herzeleid – et du désir – Sehnsucht – en entreprenant une démarche que l'on pourrait qualifier de psychanalytique. Si on peut dire de ce troisième album qu'il est (encore et toujours) torturé, il marque un passage vers la maturité du groupe qui s'exprimera pleinement dans Reise, Reise. La réconciliation symbolique avec la Mère amènera une maturité dans la relation à l'être aimé. Cela ne veut pas dire qu'on ne trouvera plus chez Rammstein des thèmes durs, et que la relation à l'autre sera moins destructrice, mais leurs traitements, dans l'écriture, se fera manière plus « adulte ». »

Ces remarques peuvent aussi s'appliquer à « Nebel ». 

 

Merci CyrBrennt pour cette interprétation très intéressante et vraiment bien argumentée, elle fait m'a bien fait réfléchir !

Je ne connais pas suffisamment la vie de Till pour savoir si cela est en rapport avec sa vie ...

 

Personnellement je trouve le premier degré assez cohérent, et en soit les paroles sont très belles, subtiles et émouvantes.

 

Mais dans l'hypothèse qu'il s'agit d'une couple, il me semble que la réflexion de la fin, où l'homme ne se souvient plus du dernier baiser, m'a toujours paru un peu incohérente. Si ce sont deux amants, la séparation a du avoir lieu à l'initiative de la femme, qui a eu peut être envie de quitter son amant avant de sombrer inexorablement dans la maladie (cancer ?). Par amour, pour ne pas lui infliger le partage ses souffrances, elle préfère le quitter et finir sa vie loin de lui. C'est un geste très émouvant. Mais même dans une interprétation mère/fils, j'ai du mal à comprendre pourquoi le fils oublierait les derniers instants passé avec un être aimé. L'amour filial ne passe pas, comme cela peut être le cas pour deux amants.

 

Il me semble que l'homme est finalement assez ingrat, et n'aime finalement plus vraiment la femme, qui le quitte sans qu'apparemment cela ne le marque.

Peut être que Till critique implicitement l'ingratitude des hommes qui ne cherchent que le plaisir sexuel auprès des femmes. Quand la femme est malade, et n'est plus en mesure de le satisfaire, l'homme la laisse tomber et l'oublie. Même si bien entendu tous les hommes ne sont pas comme ça (heureusement !), je pense que c'est un lieu commun ...

 

Ceci dit lors du dernier baiser, l'homme a les yeux en larmes, comme s'il avait deviné ou pressenti le sort tragique de son amante, et il semble bien que c'est elle a du le quitter. Cela affaiblit l'interprétation de l'homme ingrat, comme si chacun savait ce qui allait arriver sans oser se l'avouer.

 

En tous cas, cette histoire se prêterait bien à un clip mélancolique, tourné un jour de brouillard sur une plage de la Baltique (rien à voir avec la plage de Mein Land !)

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Le Friday, October 28, 2016 à 13:44, pascal78000 a dit :

 

Merci CyrBrennt pour cette interprétation très intéressante et vraiment bien argumentée, elle fait m'a bien fait réfléchir !

Je ne connais pas suffisamment la vie de Till pour savoir si cela est en rapport avec sa vie ...

 

Personnellement je trouve le premier degré assez cohérent, et en soit les paroles sont très belles, subtiles et émouvantes.

 

Mais dans l'hypothèse qu'il s'agit d'une couple, il me semble que la réflexion de la fin, où l'homme ne se souvient plus du dernier baiser, m'a toujours paru un peu incohérente. Si ce sont deux amants, la séparation a du avoir lieu à l'initiative de la femme, qui a eu peut être envie de quitter son amant avant de sombrer inexorablement dans la maladie (cancer ?). Par amour, pour ne pas lui infliger le partage ses souffrances, elle préfère le quitter et finir sa vie loin de lui. C'est un geste très émouvant. Mais même dans une interprétation mère/fils, j'ai du mal à comprendre pourquoi le fils oublierait les derniers instants passé avec un être aimé. L'amour filial ne passe pas, comme cela peut être le cas pour deux amants.

 

Il me semble que l'homme est finalement assez ingrat, et n'aime finalement plus vraiment la femme, qui le quitte sans qu'apparemment cela ne le marque.

Peut être que Till critique implicitement l'ingratitude des hommes qui ne cherchent que le plaisir sexuel auprès des femmes. Quand la femme est malade, et n'est plus en mesure de le satisfaire, l'homme la laisse tomber et l'oublie. Même si bien entendu tous les hommes ne sont pas comme ça (heureusement !), je pense que c'est un lieu commun ...

 

Ceci dit lors du dernier baiser, l'homme a les yeux en larmes, comme s'il avait deviné ou pressenti le sort tragique de son amante, et il semble bien que c'est elle a du le quitter. Cela affaiblit l'interprétation de l'homme ingrat, comme si chacun savait ce qui allait arriver sans oser se l'avouer.

 

En tous cas, cette histoire se prêterait bien à un clip mélancolique, tourné un jour de brouillard sur une plage de la Baltique (rien à voir avec la plage de Mein Land !)

Je n'avais jamais pensé a cette idée d'ingratitude dans Nebel mais je dois avouer que c'est une approche très interessante.

De mon coté je pensais que cet oubli était une fin tragique a laquelle nous sommes tous voués en quelques sorte, la mémoire étant malheureusement faillible. Pour moi l'homme finit par vieillir sans jamais se consoler de la perte de celle qu'il a aimé. Neanmoins se faisant vieux il perd peu a peu ses souvenirs, même les plus chers, ce qui le rend extremement triste car il a conscience de perdre ces tresors mais ne peut rien faire pour l'en empecher.

Nebel est pour moi une chanson qui nous rapelle a tous notre mortalité car même dans l'esprit des gens qui nous ont aimé, nous finirons par nous effacer lentement et irremediablement et le titre "brume" symboliserait le brouillard qui finit par embuer notre mémoire, l'oubli que l'on ne peut combattre.

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  • 4 years later...
Guest Im Namen des Herren

Nebel parle d'un couple de personnes âgées dont la femme est sur le point de mourir (peau pâle, main tremblante) elle s'apprête à annoncer cette terrible nouvelle à son mari et partager un dernier baisé , le titre de la chanson "Nebel" est un anagramme de "Leben" qui signifie "vivre".

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il y a une heure, Armando a dit :

Nebel parle d'un couple de personnes âgées dont la femme est sur le point de mourir (peau pâle, main tremblante) elle s'apprête à annoncer cette terrible nouvelle à son mari et partager un dernier baisé , le titre de la chanson "Nebel" est un anagramme de "Leben" qui signifie "vivre".

 

C'est vrai qu'après les précédents pavés sur le sens de la chanson (pavés dont le plus récent date de 2016...), ces précisions sont tout à fait cruciales et nécessaires. D'ailleurs, tu as bien fait d'insister sur le fait que le titre était Nebel, c'était pas encore très clair :ph34r:

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Il y a 5 heures, Till_Lindemann a dit :

Nebel anagramme de Leben,


c’est plutôt un anacyclique d’ailleurs... (ah mais c’est dit dans le pavé de 2016... copié mais avec des faute 😂)

Edited by BückstabuGO
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Guest Im Namen des Herren
Il y a 4 heures, BückstabuGO a dit :

 


c’est plutôt un anacyclique d’ailleurs... (ah mais c’est dit dans le pavé de 2016... copié mais avec des faute 😂)

Je l'ai ai même pas lu, j'ai horreur des gros pavé 😅

 

Il y a 9 heures, Till_Lindemann a dit :

@Armando Nebel anagramme de Leben, et donc ? 

Continue stp, éclaires nous de tes lumières 

OK je vais continuer sur d'autres chansons 🙃

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Il y a 7 heures, BückstabuGO a dit :

c’est plutôt un anacyclique d’ailleurs

 

Alors, je m'en voudrais de chipoter (pis c'est vraiment pas mon genre hein), mais un anacyclique est une forme particulière d'anagramme :)

 

Il y a 3 heures, Armando a dit :

Je l'ai ai même pas lu, j'ai horreur des gros pavé 😅

 

Là encore, j'voudrais pas paraître relou, mais quand on veut participer à un sujet, c'est mieux de regarder ce qui a déjà été dit sur le susnommé sujet, qui plus outre quand il n'y a même pas 1 page de messages... Parce qu'au risque de te surprendre, ce forum datant de 2005 n'a pas attendu 2020 et Armando pour découvrir que Nebel parle d'un couple dont la femme est malade hein...

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Il y a 3 heures, Adios234 a dit :

Alors, je m'en voudrais de chipoter (pis c'est vraiment pas mon genre hein), mais un anacyclique est une forme particulière d'anagramme :)


je dirai que c’est une forme particulière de palindrome qui sont des forme particulière d’anagramme, à la limite 🙄

 

😂

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il y a une heure, BückstabuGO a dit :

je dirai que c’est une forme particulière de palindrome qui sont des forme particulière d’anagramme, à la limite 🙄

 

 

Ah, du tout, je m'inscris en faux ! Le palindrome est une forme particulière d'anacyclique, et non l'inverse ! 

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