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Innovateurs et surtout précurseurs dans le style, IAM a fait souffler un vent puissant sur un rap hexagonal un peu lisse. La fabuleuse épopée des chevaliers shaolin débute en 1985, dans les studios d'une radio libre marseillaise, où Philippe et Eric se rencontrent. Fin 1989, ils deviennent Akhenaton et DJ Kheops. IAM sort Concept, une cassette produite avec le Massilia Sound System. Le groupe enchaîne les premières parties de Madonna, James Brown, Public Enemy et se forge une expérience de la scène. En mars 1991, sortie du premier album De La Planète Mars. En 1993, Ombre et Lumière, avec Le Mia vulgarise le rap et le fait entrer dans tous les foyers. La tournée Le Dragon S'éveille Tour triomphe en France. Double Olympia complet, remise du disque d'or pour Ombre et Lumière. En 1995, consécration pour les bad boys de Marseille, groupe de l'année aux Victoires de la Musique. Les membres du groupe font alors un break, laissant la porte ouverte aux carrières solo. En mars 1997, IAM revient en force avec L'Ecole du Micro d'Argent, le chef d'oeuvre. En 2000, IAM refait un break, pour que chacun puisse s'épanouir à sa manière. Le crew se réunit en 2003 pour sortir Revoir un printemps. Il part ensuite sur la route pour une tournée qui sera immortalisée dans un CD/DVD Live au Dôme de Marseille, sorti au printemps 2005, quelques mois après la parution d'un best-of.

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J'adore ce groupe, les seuls rappeurs qui ont du sens dans le texte, J'avais 11 ans lorsque un matin j'ai entendu "Je dans le mia" la meme année un autre groupe faisait son apparition, avec "la fiévre" de NTM

L'école du micro d'argent restera leurs meilleurs albums je trouve, avec la saga featuring Wu tang clan, ou encore l'empire du coté obscure et surtout Demain c'est loin, une chanson prenante pas ce texte réel

Demain c'est loin

L'encre coule, le sang se répand

la feuille buvard

Absorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoire

Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois

Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive

Des mecs qui pour 20.000 de shit se déchirent

Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire

Rire, sourire, certains l'ont perdu je pense à Momo

Qui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revu

Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère

Mais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrière

Pousse pousser au milieu d'un champs de béton

Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds

La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements

On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend

A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack

Ouais, c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici ici ici

Ici, le rêve des jeunes c'est la Golf gti, survet' Tachini

Tomber les femmes à l'aise comme many

Sur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bien

Dieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la fin

La fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsains

Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien

On marche dans l'ombre du malin du soir au matin

Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin

Chemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieu

Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veut

Une route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuir

Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir

Souvenir être si jeune, avoir plein le répertoire

Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou!

c'est le noir

Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirs

Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirs

Tirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enfer

Sur terre, on construit son paradis

Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon

La réalité tape trop dure, besoin d'évasion

Evasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris

Les murs, les esprits, les rats la nuit

On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action

Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs

Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle

D'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelle

Les armes poussent comme la mauvaise herbe

L'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses graines

Graines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous? Tous jeunes

On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs

Au franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champs

Trop grand, impossible a arrêté

Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie

On prend trois mois, le bruit court, la réputation grandit

Les barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épine

Fine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime

S'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaie

Le noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamber

Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus

Ca aidera, personne demandera d'où ils sont tombés

Tomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousin

De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien

Vivre comme un chien ou un prince, y'a pas photo

On fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyaux

Joyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flèche

Ricoche, le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochent

Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,

les coups de pioche

Creuser un trou, c'est trop fastoche

Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantise

Et porcelaine dans le pare-brise

Tchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins

Ca c'est toute la journée, lendemain, après lendemain

Lendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jour

On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent

Demain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure

On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur

Futur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochaines

Seront pires que nous, leur vie sera plus morose

Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper

Prévenir avant de se faire clouer

Clouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bière

On siffle les gazières qui n'ont pas de frère

Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches

On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche

Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde

Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes

Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre

Les obstinés refusent le combat suicidaire

Cidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se diriger vers le mauvais

Côté de l'éternité d'un pas décidé

Préfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder

Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée

Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé

La tête sur l'oreiller, la merde un instant estompée

Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer

Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menotté

Menotté, pieds et poings liés par la fatalité

Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier

Le teurf l'arène on a grandi avec les jeux

Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut

Dans les constructions élevées

Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés

Frictions, excitation, patrouilles de civils

Trouille inutile, légendes et mythes débiles

Haschich au kilo, poètes armés de stylo

Réserves de créativité, hangars, silos

Ca file au bloc 20, pack de Heineken dans les mains

Oublier en tirant sur un gros joint

Princesses d'Afrique, fille mère, plastique

Plein de colle, raclo à la masse lunatique

Economie parallèle, équipe dure comme un roc

Petits Don qui contrôlent grave leurs spots

On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico

Horizons cimentés, pickpockets, toxicos

Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros

Politiciens et journalistes en visite au zoo

Musulmans respectueux, pères de famille humbles

Baffles qui blastent la musique de la jungle

Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées

Nuée de gosses qui viennent gratter

Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument

Parties de foot improvisées sur le bitume

Golf, VR6, pneus qui crissent

Silence brisé par les sirènes de police

Polos Façonnable, survêtements minables

Mères aux traits de caractère admirables

Chichon bidon, histoires de prison

Stupides divisions, amas de tisons

Clichés d'Orient, cuisine au piment

Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment

Désert du midi, soleil écrasant

Vie la nuit, pendant le mois de Rhamadhan

Pas de distractions, se créer un peu d'action

Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction

Rires ininterrompus, arrestations impromptues

Maires d'arrondissement corrompus

Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager

Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées

Bougre sans retour, psychopathe sans pitié

Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver

Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues

Nouvelles blagues, terribles techniques de drague

Individualités qui craquent parce que stressées

Personne ne bouge, personne ne sera blessé

Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool

Fourgon de la Brink's maté comme le pactole

C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage

Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage

Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme

Si tu plonges, la ferme, pas drame

Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus

Ca commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vues

Regarde la rue, ce qui change? Y'a que les saisons

Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton

Te bas pour du laiton, est-ce que ça rapporte

Regrette pas les biftons quand la bac frappe à la porte

Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles

C'est pas Manille ok, mais les cigarettes se torpillent

Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent

Oeil pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant

Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader

Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers

Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine

Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines

Les élus ressassent rénovation ça rassure

Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche

De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour

A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur

Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto

Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto

Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto

Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto, mec

Ici t'es jugé à la réputation forte

Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte

C'est le tarif minimum et gaffe

Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum

Gelé, l'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises

Béton figé fait office de froide banquise

Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues

Les artistes de mon cul, pompent les subventions dsu

Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus

Les décideurs financiers plein de merde dans la vue

En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent

Les pierres partent, les caisses volées dérapent

C'est le bordel au lycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs

Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs

Le dos a un oeil car les eaux sont truffées d'éceuils

Receuille le blé, on joue aux dés dans un sombre cerceuil

C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo

Un tchoc de popo, faire les fils et un bon rodéo

La vie est dure, si on veut du rêve

Ils mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef

Tu me diras "ça va, c'est pas trop"

Mais pour du tcherno, un hamidou quand on a rien, c'est chaud

Je sais de quoi je parle, moi, le bâtard

J'ai dû fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar

Le spot bout ce soir qui est le King

D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parking

Mais qui peut comprendre la mène pleine

Qu'un type à bout frappe sec poussé par la haine

Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin

Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin

Je vais faire plaisir a Seb, Via planete Marseille :)

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IAM c'est supportable par rapport aux autres groupes de rap

Tout ça me rappelle les années 80 où l'ambiance était chaude et les mecs

rentraient, Stan Smith aux pieds le regard froid, ils scrutaient la salle le trois-quart en cuir roulé autour du bras, Ray Ban sur la tête survêtement Tacchini, pour les plus class les mocassins Nébuloni :D

Délire ce groupe :lol:

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Euuh IAM... mouai...c'est pas trop mon truc mais c'est vrai que c'est peut-être un des seuls groupes de rap que je peux supporter.

"Oh cousine tu danses ou je t'explose " :P

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Euuh IAM... mouai...c'est pas trop mon truc mais c'est vrai que c'est peut-être un des seuls groupes de rap que je peux supporter.

"Oh cousine tu danses ou je t'explose " :P

Bon ok en évitant certaines paroles :P:lol:

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Voilà comment tout s'aggravait

En un quart d'heure

Le frère rappliquait

" Oh, comment tu parles à ma soeur ? "

:lol:

Viens avec moi, on va se filer,

Tête à tête je vais te fumer derrière

les cyprès

Mdr :lol:

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En tous cas cette chanson restera dans nos mémoires, enfin dans la mienne surtout

tu connais aussi la célebre chanson le feu d ' I am?

Backstage ! La tension est à son comble

Y'a que les mecs du groupe 7, c'était le nombre

Debout avec autant de pression sur le dos

Que le bathyscaphe de Cousteau

Relax un max, Chill ça va, pas de bruit, pardi, oui

Minuit l'heure de fumer le M.I.C.

Avec la masse de nouveaux tout nouveaux morceaux

Chauds, j'aimerais que la foule dise Oh !

Dès que l'on rentre et que toutes les rampes sont allumées

2 minutes et tout le monde est prêt

Une expression verbale et deux barils d'esssence

Que l'on verse et verse verse sur les gens qui dansent

A part les textes le cross fade est un silex

S.7.7.0. bûle le boomer et l'abîme

La flamme est dans le corps des danseurs

Rapidement passe dans la salle et les choeurs

{Refrain:}

Ce soir on vous met le feu

C'est nous les Marseillais {x3}

Nous n'en sommes pas arrivés là en un jour

Notre bagage n'a pas été fait en un tour

De main je m'en vais donc conter le parcours

Et croyez que le voyage ne sera pas court

Il y eut beaucoup de morceaux composés que l'on a modifiés

De rimes calculées de feuilles raturées

Et des heures passées à échantilloner

Sans savoir vraiment si cela marcherait

Et tous ces kilomètres que l'on s'est tapés

Moïse à côté de nous, n'a fait que se promener

On partait le matin tôt, tout frais

On arrivait le soir avec un bâton et des caligaes

Cela s'est répété tant et tant de fois que les stations d'essence

Ont le sourire aux lèvres dès qu'elles nous voient

Pour aller faire un concert à l'autre bout de la France

On avait l'impression que c'était le temps des transhumances

Toutes ces randonnées dans un but précis

Celui de monter sur scène, histoire de voir si

La température augmente dans le foule peu à peu

Afin que nous puissions y mettre quoi ? Le feu

{au Refrain}

Oh hisse ! Oui, enculé non

Mets tes mains bien en l'air si c'est bon

Respecte le métèque et tout ira bien

Assure le steak ou fait un chèque, la meute a faim

Partis de rien aujourd'hui parmi vous sur scène

A la force des mots sans user de danses obscènes

Saute si tu veux crie si tu le peux

On met le feu ! On met le feu ! On met le feu je veux

Des filles arrivent par ci par là

Minga, hasta la vista señorita

Iam est ici pour embraser la nuit la partie

Tu veux des sous un crédit, trouve-toi un job chérie

Dieu que j'en rêve. Dieu que j'en rêve. Dieu

Donne-moi la force de foutre le feu

Aux yeux des spectateurs et des spectatrices

Expectateurs de cette voie destructrice

Donne-moi la volonté pour ensuite écouter

"IAM est dans la place" je vais

Signaler que si tu sais que l'on vient en live

Dans ta ville, vite tape le 18

Shurik'N

Putain de fil de micro qui me casse les chut

Je m'y suis pris les pieds encore un peu c'était la chute

Sinon, tout va bien chacun s'acquitte de sa tâche

A part quelques crises de folies de notre Papin du scratch

La foule répond bien tout le monde tape des mains

On envoie le prochain morceau et la oooh oh

Akhénaton tu les sent prêts là ?

Ouais, je crois qu'ils le sont, vas-y tu peux y aller

A ma droite est-ce que vous êtes prêts pour la première vague ?

Ouais !!!

A ma gauche êtes-vous prêts à vous défoncer les cordes vocales ?

Ouais !!!

Pas de problème pas de problème ça nous engraine

Ah Ah ! Ca va filer, c'est pas la peine

Le bordel on vous garantit pendant 1 heure ou 2

Ce soir, ce soir, ce soir on vous met le feeeeuuuuuu

Alors ce soir, qu'est-ce qu'il va se passer les gars

{Refrain:}

Ca brule. Appelez-les pompiers

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Qui ne connaît pas LE FEU ?! Elle est chanté à tout les matchs au Vélodrome !

Putain de fil de micro qui me casse les ... CHUT ... :lol:

Au feu les pompiiieeeerrrrssss !!

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j'me rappelle la première fois que je les ai entendu... j'étais morte de rire .... bon au bout de quelques jour rien que d'entendre "je danse le mia" j'avais quand même envie de flinguer quelqu'un!!! :D

mais en bon sudistes vous devez aussi connaitre "massilia sound system" bon ok, je suis HS donc je :arrow::coucou:

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ah nan desolé mais moi je peux pas supporter les groupes de rap (a peut-etre cypress hill qui passe a peu pres) donc forcement Iam c'est pas mon truc....

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Carremment les textes de 113 laissent a désiré " 113 fou la Merde" etc etc...

I am est beaucop plus subtiles :)

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Euuuh c'est ou qu'on peux vomir ici??

Moi Rap = Caca immonde

Sa résume bien se que je pense.... ;)

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Euuuh c'est ou qu'on peux vomir ici??

Moi Rap = Caca immonde

Sa résume bien se que je pense.... ;)

Attends ça c'est pas du rap "wesh la cité, fuck la police ..." !

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Non mais Seb j'ai pas dit sa ^^ Mais bon j'aime pas j'aime pas! c'est pas du tout mon style de musique c'est se que j'entendais je parlais du rap en général! Mais bon si tu veux je rajoute les texte (pour le rap en général) c'est du caca aussi... :lol::lol: Apres biensur faut faire la part des choses!! mais le Rap pour moi c'est du caca et sa le restera!! ^^

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Peut etre que pour toi c'est Caca, mais moi j'aime bien, et je ne suis pas le seul a bien aimé, il faut etre ouvert d'esprit sinon on va passer pour des Drucker ( lol la nouvelle insulte)

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Peut etre que pour toi c'est Caca, mais moi j'aime bien, et je ne suis pas le seul a bien aimé, il faut etre ouvert d'esprit sinon on va passer pour des Drucker ( lol la nouvelle insulte)

Non je m'en fou que tu aime ou pas! ^^ Je met juste mon avis Renaud!! ^^ apres si sa plais pas fuck off! ^^ ;)

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