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Le prochain single sera "Radio"


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il y a 31 minutes, BückstabuGO a dit :

l'atout de Rammstein

Je prend pour ma part la musique dans son ensemble. Je ne me focalise pas que sur le riff. Mais même ce qui gravite autour dans Radio, selon moi, est tout aussi peu convaincant. 

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Pour info Jörn Heitmann m’a confirmé qu’il avait tourné une autre vidéo pour le groupe.

Ça me fait rire ceux qui hurlent que les riffs sont trop simplistes et qu’ils ne se sont pas foulés. En quoi le riff de « Reise, Reise » (par exemple) est compliqué ? Et le nombre de chansons de Ramms

En revanche il va falloir réduire l’utilisation de meme sur ce forum parce que ça devient assez lourd. 

il y a 50 minutes, Der Master a dit :

J'en étais sûr de cette réponse.. Bah écoute, je pense que toi et moi on connais la réponse, cela dit Deutschland niveau gratte, dégageait mille fois plus de chose que Radio. En même temps il s'agissait du morceau du retour. Mais pour reprendre l'exemple de Radio, bah non désolé pour moi ça ne dégage rien, c'est plat. Les fioritures de synthé peu inspiré et le chant de Till, peu convaincant, en font largement un morceau oubliable. Mais le blâme est avant tout à jeter sur le riff. 

C’est fou moi la guitare sur DL je la trouvais nettement plus en retrait et moins percutante que sur radio . Comme quoi on écoute tous différemment et j’ai l’impression que chacun se fait une idée de ce que le groupe devrait faire par rapport à sa discographie et non écouter comme une œuvre au présent 

Edited by Das-model
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Il y a 13 heures, Mitth'raw Nuruodo a dit :

 

Surtout que, pardon, mais plus ça va, plus je me dis qu'on a vraiment fait un très mauvais procès à Rosenrot. Certes, l'album était endommagé par des morceaux pop complètement plats et par un manque de cohérence globale, mais voilà, dessus, il y avait Spring, Feuer Und Wasser ou Wo Bist Du ? qui sont beaucoup plus intéressantes que n'importe quel morceau de LIFAD et que les deux que l'on connaît déjà du nouvel album.

 

Ce sont des chansons qualitatives, mais je ne peux m'empêcher de penser que les Wo Bist Du, Donaukinder, Vergiss Uns Nicht sont aussi une zone de confort pour Rammstein. Sexuellement parlant, ces chansons me font penser à une sexualité vanilla bien troussée : des préliminaires bien maîtrisés quoique longuets avec un missionnaire correctement exécuté à force d'expérience dans une chambre à la pénombre trop calculée : ça fonctionne bien, ça monte bien en puissance et en tension, on y prend toujours du plaisir. Mais il y a quelque chose de lassant dans cette recette très maîtrisée.

 

Pour poursuivre dans le registre sexuel (pour une fois qu'on parle des chansons de Rammstein d'une manière que Till comprendrait), Radio, c'est un peu le quickie. Effectivement, on perd en complexité, en atmosphère même par rapport à une chanson à l'intro très travaillée, à la sonorité plus organique et avec des éléments symphoniques, mais cette simplicité retrouvée, que ça va aller sur-le-champ à l'essentiel a quelque chose qui ravive une relation devenue trop poussive. Les notes introductives au synthé de Radio suivi du riff simple, c'est un peu la leçon que l'électrisation soudaine dispose d'autant de charme que l'échauffement progressif, qu'un petit doigt dans le cul impromptu, rapide et bien placé vaut bien de longues minutes de caresse pour rendre les corps électriques et dansants.

 

Versteht ihr mich ? :ph34r:

 

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ya des foutus niaiseux qui viennent dire que Radio c'est d'la marde

les meme qui disait y'a un mois "vous verrez y' en aura toujours pour se plaindre"

je trouve ça magique.

c'est aussi ça la force de R+ ❤️

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il y a 31 minutes, FrenchKoala a dit :

j'adore deutschland et radio, tout autant que 90% de leurs prods précédentes.

 

Tu es un brave petit Koala ❤️

Quand j'aurai les pierres de l'infini au complet, je ferai attention de ne pas t'effacer.

Edited by Ted
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Il y a 2 heures, Wir Sind Wieder Da ! a dit :

LudicrousC sort de ce corps !

 

 

Jamais je ne ferais l'éloge du quickie, voyons! :D

 

Plus sérieusement, outre l'aspect amusant de la métaphore sexuelle, elle est intéressante pour bien comprendre la perception de chacun sur les choix musicaux du groupe. Je veux dire, tout le monde peut comprendre tout de suite grâce à ça.

 

Ce serait intéressant de comparer ça avec le processus créatif, pour voir si ça coïncide avec une perception que pourrait en avoir le groupe. Une chanson comme Wo bist du, Donaukinder  ou Vergiss uns nicht me semble être le type même de chanson "premier jet" pour le groupe, un "quickie" au sens strict. Pas de fioriture, pas de prises de tête. Alors qu'une chanson comme Radio, à l'inverse, me semble ultra travaillée...

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il y a 19 minutes, DickInSon a dit :

@Niklaus magnifiques comparaisons :lol:

 

et sinon Heirate mich symboliquement ce serait quoi? Une épreuve d'endurance sans piment?

(pas de la necrophilie stp :( )

 

Pour mieux comprendre Heirate Mich, on peut l'opposer à ITDW. Cette dernière, c'est comme coucher avec quelqu'un qui essaye d'installer quelque chose, plonge la pièce dans une ambiance tamisée croyant susciter le désir ainsi. Mais on ne retient que cette désagréable impression de chair molle et suintante qui se tortille sur nous une fois l'acte consommé.

 

Heirate Mich, c'est une séduction corruptrice, quelque chose de très vampirique. Quand ça se propose à nous, une boule dans le ventre se fait sentir, mélange de tension sexuelle et d'appréhension, car l'on comprend qu'on nous entraîne vers des choses dures et honteuses, mais cette anxiété, plutôt que de nous pousser à la fuite, participe au magnétisme de la chose, l'angoisse devient comme libidinale. Ca baise de manière dure, ciblée, cruelle, nous réduit à un organe et pourtant sa présence nous touche au plus profond comme aucune autre, le vampire est assoiffé de nous, et tandis qu'il nous boit, une curieuse impression de fleurir. Et quand vient le lendemain et le souvenir des choses honteuses faites la nuit, un sourire se dessine sur nos lèvres tandis qu'on se remémore les actions dans lesquelles on s'est perdu et nous ont définitivement transformé.

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il y a 37 minutes, Niklaus a dit :

 

Pour mieux comprendre Heirate Mich, on peut l'opposer à ITDW. Cette dernière, c'est comme coucher avec quelqu'un qui essaye d'installer quelque chose, plonge la pièce dans une ambiance tamisée croyant susciter le désir ainsi. Mais on ne retient que cette désagréable impression de chair molle et suintante qui se tortille sur nous une fois l'acte consommé.

 

Heirate Mich, c'est une séduction corruptrice, quelque chose de très vampirique. Quand ça se propose à nous, une boule dans le ventre se fait sentir, mélange de tension sexuelle et d'appréhension, car l'on comprend qu'on nous entraîne vers des choses dures et honteuses, mais cette anxiété, plutôt que de nous pousser à la fuite, participe au magnétisme de la chose, l'angoisse devient comme libidinale. Ca baise de manière dure, ciblée, cruelle, nous réduit à un organe et pourtant sa présence nous touche au plus profond comme aucune autre, le vampire est assoiffé de nous, et tandis qu'il nous boit, une curieuse impression de fleurir. Et quand vient le lendemain et le souvenir des choses honteuses faites la nuit, un sourire se dessine sur nos lèvres tandis qu'on se remémore les actions dans lesquelles on s'est perdu et nous ont définitivement transformé.

 

Mehr ou Buckstabu, ce serait la demie molle de fin de soirée mal exploitée, qui finit en vomito dans les cheveux de Madame, suivi des ronflements de Monsieur. Assez dark, mais oubliées dès le lendemain, en définitive.

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Mehr et Buckstabu je peux tellement pas les blairer, c'est les sœurs Gonorrhée et Syphilis. Pour le coup je pensais à un truc avec le nouvel album, je ne pense pas que ça soit le dernier. Je suis même pratiquement certain qu'il va y en avoir un autre après. Le groupe a toujours créé par vagues. Les 2 premiers albums utilisent du matériel qui avait été très majoritairement composé dès les débuts du groupe. Mutter, c'est le cas à part dans la disco du groupe. On sait que certaines chansons datent des débuts, mais il y a aussi des petites nouvelles, mais pas beaucoup de chutes, on a presque l'impression qu'ils n'ont pas beaucoup composé sur celui là. Ensuite vient le duo RR/Rosenrot. qui marque la seconde grosse période de composition. Après ça Lifad est la troisième période de composition, pas de double album cette fois, mais on a quand même pas mal de B-sides. Maintenant pour le nouvel album on sait déjà que le groupe avait pratiquement une vingtaine de chansons. On va voir mais je pense que cet album et le suivant vont avoir une tonalité semblable. Je les vois mal s'arrêter là sachant qu'ils exploitent toujours leurs chutes au maximum. Enfin c'est encore trop tôt, on va déjà voir ce que donne le nouvel album.

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