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Le prochain single sera "Radio"


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il y a 9 minutes, jackirock a dit :

@desir_noir Je ne suis pas sûr qu'il faille voir le groupe hologramme réellement comme "Rammstein" mais comme quelque chose de plus large : la musique est au dessus de la censure et des gouvernent car la musique restera là où les gouvernements viendront à mourir. 

Ou alors ils sont complément megalo et effectivement, ils ne font pas le poids face à la censure, comme n'importe quel groupe.

 

 

Yep, je comprends bien, mais ça reste quand même une personnification. Le groupe/les hologrammes SONT quelque chose. On peut imaginer par exemple qu'au lieu de s'attaquer au groupe la police fasse péter les enceintes, ou stoppe la transmission radio mais "comme par magie" la musique continue malgré tout. De fait symbolisant que la musique au sens large est au dessus des gouvernements. C'est con comme idée hein je prétends pas remplacer le metteur en scène mais c'est juste qu'après Deutschland je trouve que le groupe a franchi un cap en matière de mégalomanie, ça en devient flippant. Le groupe a toujours eu cette tendance, c'est pas nouveau, mais ça ne s'arrange pas avec le temps.
@LudicrousC tu vois quoi toi avec ces hologrammes?

Edited by desir_noir
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Pour info Jörn Heitmann m’a confirmé qu’il avait tourné une autre vidéo pour le groupe.

Ça me fait rire ceux qui hurlent que les riffs sont trop simplistes et qu’ils ne se sont pas foulés. En quoi le riff de « Reise, Reise » (par exemple) est compliqué ? Et le nombre de chansons de Ramms

En revanche il va falloir réduire l’utilisation de meme sur ce forum parce que ça devient assez lourd. 

il y a 32 minutes, desir_noir a dit :

 

C'est vraiment ce point là qui me fait tiquer sur le clip. J'arrive pas à comprendre la signification des hologrammes. Si ils essayent d'être des représentations de la "culture/musique" qui ne peut pas être muselée par la censure, c'est quand même ultra mégalo. La pose "on EST la culture" c'est... osé. Et si c'est juste une représentation d'eux comme groupe qui résiste aux pressions autoritaires, c'est à coté de la plaque et c'est ce donner une image qu'ils n'ont pas. Dans les deux cas, le groupe s'imagine une image complètement fantasmée. Autant aux débuts en RDA, ok, peut être. Mais après, que ça soit pour les concerts du Mutter tour aux US, ou les polémiques de LIFAD en Allemagne les mecs se sont couchés face à la censure quelque chose de bien. Comme n'importe quel groupe mainstream ils font du biz, pas de l'activisme et la censure gagnera toujours contre eux. Donc ouais, là dessus j'ai l'impression qu'ils fantasment complètement et qu'ils sont ultra mégalo, ou il y a quelque chose que j'ai raté. Et pareil, cette fin avec la groupie, il y a un truc qui me fait tiquer mais j'arrive pas à mettre le doigt dessus.

 

Pour moi c’est plus terre à terre : techniquement tu peux difficilement empêcher la diffusion des ondes radios, c’est comme un ennemi intouchable pour les régimes autoritaires. Cf Radio Londres. Lutter contre celui qui parle à la radio, c’est lutter contre un adversaire littéralement insaisissable, qui est partout et nulle part à la fois. Et les armes ne peuvent rien contre la radio (cf les coups de matraques qui frappent dans le vide).

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J'ai plutot l'impression qu'il représente la musique occidentale, qu'ils n'avaient pas le droit d'ecouter en allemagne de l'est, mais que tout le monde a ecouté clandestinement (me souvient d'interview où ils disaient se faire ramener des cds de l'ouest par les gens qui avaient l'autorisation de passer le mur), et que même un regime totalitaire ne pouvait empecher, la preuve le plan suivant, dès que les flics ont echoué a leur mission et se retrouvent sans chef, dansent sur la musique dite clandestine, les representants du regime qui ne respecte pas le pays à qui ils sont censés etre fidèle et servir coute que coute.

 

Pour le plan de la fin, j'ai un peu de mal à savoir ce qu'ils veulent dire, si le groupe représente la musique, alors qu'elle reste intouchable encore aujourd'hui (j'ai l'impression que ce plan se passe à notre époque), que malgres les années, elle a toujours les mêmes facultés , qu'elle est toujours capable de traverser les frontières, et d'etre federatrice.

Ou alors qu'aujourd'hui la musique echappe aussi à son public, car elle est devenu un bien de consommation, consommable et jetable rapidement...

 

J'sais pas si il faut y voir un liens avec une certaine megalomanie, ou une illustration de la froideur et du "manque" d'expression de Rammstein vis à vis de leur public. Ce serait vraiment nous chier à la gueule pour un retour apres 10 ans, de dire ouais vous nous faites chier, on est intouchable :lol:

Edited by Cynique
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il y a 9 minutes, Jack a dit :

 

Pour moi c’est plus terre à terre : techniquement tu peux difficilement empêcher la diffusion des ondes radios, c’est comme un ennemi intouchable pour les régimes autoritaires. Cf Radio Londres. C’est comme lutter contre un adversaire littéralement insaisissable.


Effectivement de ce point de vue là c'est assez vrai. C'est pour le coup une interprétation qui me parait plus valable dans le contexte de la chanson.
C'est cool, au final il y a quand même pas mal de degrés possibles de lecture malgré un clip qui est au final assez simpliste. Même si je trouve qu'il  y a quand même quelques éléments un peu maladroits.

Edited by desir_noir
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Il y a 5 heures, Wir Sind Wieder Da ! a dit :

Il se prends pour Joe letz parfois non ?

 

De loin on pourrait pourtant penser depuis des années que c'est plutôt Joe Letz qui se prend pour Rammstein (il me fait penser au mec-type qui se greffe à un groupe comme un parasite avec une pancarte "des amis selvoplé"). ^^
Les afters doivent être plus cools qu'avec Combichrist, j'imagine ! :D

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Même avis que Jack, Buffalo et co sur les hologramme, donc les ondes qui se propagent malgré les barrières et les gros muscles des gouvernements etc.

 

Pour la dernière scène, j'aime bien l'interprétation de Buffalo, plutôt une touche d'autodérision.

 

Peut-être une possible autre allusion à Kraftwerk, qui employait aussi cette forme d'autodérision, d'humour pince sans rire très germanique : "nous jouons comme des robots" vu qu'ils n'utilisent que des instruments électroniques et automatiques. Ils bougeaient eux-mêmes sur scène tout le long du concert à l'époque de The Man Machine de manière saccadée comme s'ils étaient vraiment des robots ( par la suite, ils se contenteront de simplement placer des robots pour la chanson The Robots ). La chanson des Mannequins reprend aussi cet humour ils tournaient en dérision leur image très fixe, bloqués derrière leurs claviers, "nous sommes comme des mannequins".

 

Peut-être donc un humour similaire ici de la part de Rammstein: notre musique, ce sont des ondes, et donc nous ne sommes que des ondes en fait.

Edited by Niklaus
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Le clip est sympathique, effectivement, ça fait plaisir de les voir revenir à une esthétique plus froide, le côté totalitaire est plaisant (en plus de me rendre nostalgique, forcément -_- ), le noir et blanc leur va bien. Ça reste maladroit niveau place des gonzesses, mais enfin passons.

 

Par contre, le morceau, plus ça va, plus je me dis qu'on pouvait quand même attendre mieux. Certes, ça va dans la bonne direction, mais avec au final assez peu d'idées neuves. Une collègue de VerdamMnis a dit que pris en entier, le morceau sonnait assez Die Krupps et c'est pas faux. Enfin, au moins ils auront eu l'intelligence de mettre un bon clip avec et des paroles intéressantes. Plus ça va, plus j'ai l'impression que l'intérêt de cet album sera en bonne partie extra-musical...

Edited by Mitth'raw Nuruodo
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Je ne sais pas si c'est un faux raccord ou si il faut y voir une signification quelconque, mais concertant le plan final, les membres du groupe ne sont pas vraiment coiffés ni maquillés de la même manière. Till n'a plus de rouge à lèvres, Ollie n'a plus sa moustache mais juste sa barbe habituelle, RZK n'a plus sa coupe gominée mais une coupe de cheveux plus contemporaine, idem pour Christoph dont la moustache n'est pas identique, etc.

 

Et sinon pour la fin, moi j'y vois aussi un message du type : "Le revers de la médaille de la radio, c'est que dans la vraie vie (cf le passage en couleurs), son caractère désincarné fait ce n'est pas elle qui change le monde, en définitive". 

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Bon, maintenant, je veux le clip, mais uniquement avec des plans de Flake, c'est beaucoup trop drôle pour être perdu dans un clip avec un message :D

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Il y a 2 heures, Spooky Kid a dit :

Les flics qui dansent ça m'a rappelé le clip de The Dope Show de Manson.

 

Clip qui fait lui-même référence à Outside de George Michael, qui avait fait scandale - si je ne m'abuse, sorti la même année d'ailleurs, non?

 

il y a une heure, Buffalo Biffle a dit :

Le propos du groupe sur la culture intouchable par la répression autoritaire via les hologrammes est bien pensé même si assez mégalo (et qui a tendance à desservir le propos que je suppose être féministe, avec une vision un peu paternaliste) (mégalomanie sur laquelle je n'arrive pas à trancher concernant la dernière scène : auto dérision sur le caractère froid et distant du groupe vis-à-vis de sa fan base ou premier degré en estimant que le groupe est au-dessus de la plèbe ?).

[...]

Le seul reproche que je pourrais lui faire est l'absence d'une petite scène twistant le propos du groupe, surtout au vu de la mégalomanie qui se dégage de la fin du clip comme dit précédemment. Ça rend le tout peut être un peu trop premier degré à mon goût (un peu à l'image de la chanson finalement, efficace sans être réellement très profonde).

 

il y a une heure, desir_noir a dit :

C'est vraiment ce point là qui me fait tiquer sur le clip. J'arrive pas à comprendre la signification des hologrammes. Si ils essayent d'être des représentations de la "culture/musique" qui ne peut pas être muselée par la censure, c'est quand même ultra mégalo. La pose "on EST la culture" c'est... osé. Et si c'est juste une représentation d'eux comme groupe qui résiste aux pressions autoritaires, c'est à coté de la plaque et c'est ce donner une image qu'ils n'ont pas. Dans les deux cas, le groupe s'imagine une image complètement fantasmée.

 

il y a 39 minutes, desir_noir a dit :

 C'est con comme idée hein je prétends pas remplacer le metteur en scène mais c'est juste qu'après Deutschland je trouve que le groupe a franchi un cap en matière de mégalomanie, ça en devient flippant. Le groupe a toujours eu cette tendance, c'est pas nouveau, mais ça ne s'arrange pas avec le temps.

 

Avant, ils réussissaient toujours à utiliser l'humour pour mettre clairement en évidence l'auto-dérision. Maintenant, on est rendu à creuser et creuser pour trouver de l'auto-dérision. C'est ce qui est inquiétant, oui.


Des scènes où on voit des radios aux noms des membres du groupe, où on voit des femmes au bord de l'hystérie, ça ne peut que faire penser aux pop stars, aux icônes modernes.

Le fait que les mecs ne soient au final que des hologrammes, ça ne peut que les déifier davantage. Je suis d'accord avec le terme mégalomanie: c'en est le summum.

D'autant plus que là, il y a principalement des femmes subjuguées - les hommes sont montrés soit outrés par le comportement des femmes, soit intrigués (j'exclue les flics, on ignore même de quels sexes ils sont à part pour le chef). 

Je ne veux pas passer pour la vieille féministe de service (encore!) mais les mecs se font une idée d'eux-mêmes qui est presque risible...

 

Ce qui est bizarre avec les hologrammes, aussi, c'est qu'ils sont les premières insertions de couleurs (bleutées) avant la fin (qui abandonne le noir et blanc carrément). Genre le groupe (ou la musique, ou ce qu'il représente) gagne sur tous les points, même au niveau visuel: les mecs se barrent quand ils ont remis la couleur à l'image. Ils sont tellement déifiés qu'ils interviennent même sur le medium du message! C'est amusant si on n'y voit qu'une référence aux paroles: So höre ich, was ich nicht seh' - mais je me rends bien compte que restreindre l'idée à ça, c'est passer à côté du problème.

 

A savoir qu'ils essaient de jouer sur tous les plans, en ignorant que c'est incompatible:

 

- s'ils critiquent la célébrité, en mode auto-dérision, ils ont loupé le coche avec la fin, à la manière de pauv' mecs à côté de la plaque concernant leur propre condition - il n'y a plus d'auto-dérision si au final, le sentiment général est que le groupe est dans un autre univers, limite supérieur: ils restent les icônes, ils ne critiquent rien du tout, et rentrent dans le moule des pop stars;

 

- s'ils représentent une allégorie de la musique, de la liberté d'expression, et qu'ils utilisent le mouvement féministe comme représentation d'un désir de liberté, et le régime totalitaire comme représentation de la censure, ils se placent en dehors de l'un et de l'autre - or, ça n'a aucun sens: comment s'exclure de l'un ET de l'autre? L'allégorie est foireuse si la liberté représentée ne sert les intérêt que d'un groupe de mecs qui se placent bien loin de son public.

 

- s'ils représentent une autre forme d'oppression, celle d'une société de consommation, dont le pouvoir est insaisissable car elle verse dans la manipulation des besoins, des désirs, je dirais Okay, là on tombe sur quelque chose de correct - mais que dire des codes utilisés: le rouge des drapeaux par exemple?

 

Ils jouent sur tellement de tableaux que déjà, on a du mal à se mettre d'accord (pas mauvais en soi, je dirais en général, bien au contraire), mais en plus, quand on accepte une interprétation, les autres nous gênent, elles mettent en évidence des failles dans la mise en scène...

 

 

 

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il y a 5 minutes, Jack a dit :

Au contraire, je trouve que la fin indique plutôt que la célébrité n'est qu'une illusion, un mirage. 

Pas bête. La personne qui n'arrive pas à les atteindre chercherait alors à toucher les "personnages" qu'ils jouent au sein de Rammstein alors qu'ils ne sont au final que des hommes. 

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il y a 8 minutes, Jack a dit :

Au contraire, je trouve que la fin indique plutôt que la célébrité n'est qu'une illusion, un mirage. 

 

 Un mirage qui change la perception de tous, sans même qu'ils s'en aperçoivent? C'est possible, mais cette illusion a un impact tenace - ils laissent leur trace sur le décor: les drapeaux de l'UE sont rouges, le bâtiment change de nom...

Un mirage qui change le monde, ce n'est plus un mirage mais un miracle.

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il y a 27 minutes, LudicrousC a dit :

Des scènes où on voit des radios aux noms des membres du groupe, où on voit des femmes au bord de l'hystérie, ça ne peut que faire penser aux pop stars, aux icônes modernes.

 

 

Des scènes comme ça existaient déjà du temps d'Elvis Presley, des Beatles....ce n'est pas si moderne. C'est juste l'admiration extrême que vouent certains fans à leur idole. Rien de mégalo, juste la réalité.

Edited by Los123
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Il y a 2 heures, Chris30 a dit :

Ce que je vois dans la fin avec la groupie, c'est plutôt "nous ne sommes finalement que des ondes", on fait juste de la musique pas plus. 

Meine Ohren werden Augen
Radio, mein Radio
So höre ich, was ich nicht seh'

 

Mes oreilles deviennent des yeux
Radio, ma radio
Ainsi j'entends ce que je ne vois pas

 

ça se tient carrément comme hypothèse et j’aime plutôt pas mal, ça reste maladroitement mis n scène, mais au moins la fin prend un sens.

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il y a 22 minutes, LudicrousC a dit :

A savoir qu'ils essaient de jouer sur tous les plans, en ignorant que c'est incompatible:

 

Perso' je pense que le groupe est là pour représenter la musique en général et non pas pour se représenter lui-même. Si tu trouves tant de contradictions dans les messages défendus par le clip c'est peut-être justement parce que le but de ce dernier est de montrer aussi bien les effets vertueux que néfastes de la musique sur les comportements (libération et désinhibition d'un côté, aliénation, consumérisme et hystérisation de l'autre).

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il y a une heure, Spooky Kid a dit :

Perso' je pense que le groupe est là pour représenter la musique en général et non pas pour se représenter lui-même.

 

Dans ce cas, les radios à leur nom, c'était une erreur, non?

 

Soit ils représentent d'autres artistes (Klaus Nomi pour Till, peut-être les Beatles pour les autres, Kraftwerk dans le trailer) pour être la musique en général (et l'ambivalence, il faut creuser pour la trouver mais okay, je veux bien admettre qu'elle est là); soit ils se représentent eux-mêmes, et là, c'est l'auto-dérision qui manque cruellement à l'appel.

 

Les interprétations sont convaincantes pourtant - en vous lisant, je commence à y croire - et puis je mate le clip à nouveau, et je ressors toujours un peu déçue. Je trouve qu'il y a maladresse dans quelques scènes, quelle que soit l'interprétation choisie.

 

 

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Bon finalement il m’aura fallu voir le clip pour dire j’aime. 

Bon clip, bonne musique dans l’ensemble, et sûrement un bon potentiel live. 

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Ah putain, ça y est, j'ai enfin trouvé quel est ce casque (porté par le chef): un Tschako, ou Schackelhaube - apparemment porté par la police est-allemande jusqu'aux années 1970 (ainsi que la zone britannique de l'Allemagne divisée, mais c'est moins important)

 

D'ailleurs, plus précisément, on dirait un casque qui date de 1930, preußischen Landespolizei, mais ils ont dû prendre le premier qui leur tombait sous la main, à mon avis...

 

(merci images google ^^)

Edited by LudicrousC
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Plus je regarde ce clip et plus je l'adore. Je pense que c'est l'un de mes préférés du groupe. J'aime tellement le rythme, l'ambiance rétro, les mimiques et la folie de Till, la tronche de Schneider, les scénettes avec les radios. Bref, franchement je suis accro à cette chanson et son univers. Plus que Deutschland même.

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