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Une petite "nouvelle" du moins pour moi. j'ai appris sur MTV.... Que Sharleen Spiteri ( chanteuse de Texas )chante sur Stirb nicht vor mir , j'étais heureuse d'apprendre ça dis donc ! Donc voilà, si comme moi vous l'ignorez : Enjoy ! :)

Oui, oui, tout à fait, d'ailleurs l'album ne devrait plus tarder à sortir, je suis curieux d'entendre ça, j'espère qu'il sera aussi bon que Reise, Reise mais j'en doute.

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J'ai réécouté l'album pour la première fois depuis belle lurette cette semaine ; il y a quand même de sacrés titres là-dessus. C'est dommage que la sortie de l'album ait été précipitée. Il ne manquait

Juste, je ne sais pas pourquoi je suis à fond sur Wo bist du que je me passe en boucle en ce moment, en mode "redécouverte" du morceau. J'étais un peu passé à côté de cet album que j'écoute finaleme

Oui, à l’époque de Lifad, l’existence de l’édition deluxe a précisément été justifiée par l’expérience précédente de Rosenrot.    D’ailleurs quasiment tout LIFAD est une réaction à Rosenrot, «

Une petite "nouvelle" du moins pour moi. j'ai appris sur MTV.... Que Sharleen Spiteri ( chanteuse de Texas )chante sur Stirb nicht vor mir , j'étais heureuse d'apprendre ça dis donc ! Donc voilà, si comme moi vous l'ignorez : Enjoy ! :)

Oui, oui, tout à fait, d'ailleurs l'album ne devrait plus tarder à sortir, je suis curieux d'entendre ça, j'espère qu'il sera aussi bon que Reise, Reise mais j'en doute.

J'espère aussi, et j'espère même qu'on aura droit à un DVD Bonus dans une édition Limité, histoire d'avoir une preview du futur DVD live "Völkerball" !

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  • 1 month later...

Pour tout vous dire, au départ, je n'aimais VRAIMENT PAS cet album. Je l'ai donc écouté et ré-écouté en me disant que ce n'est pas possible, je dois passer à côté de quelque chose. Disons que je trouvais cet album plus "pop", quitte à choquer certains ! ^_^

Puis finalement, j'ai commencé à apprécier une chanson, puis deux... Résultats des courses : je me suis mise à adorer "Benzin" et "Te quiero puta!" ! Je trouve que ces deux chansons reflètent bien l'esprit de Rammstein... Les autres chansons un peu moins. Pourtant, petit à petit, je me suis mise à apprécier les ballades de cet album (après Reise, Reise, Rammstein auront-ils eu raison de moi sur les ballades ? - Non, car j'ai toujours du mal avec "Seeman" et "Klavier") ! Si je détestais (et c'était vraiment le mot) "Stirb nicht vor mir" (faut dire, je suis très difficile concernant les voix féminines, et Texas n'est pas trop ma tasse de thé), j'adore aujourd'hui cette chanson, et il s'agit de ma 2e ballade préférée de Rammstein après "Wilder Wein" (chansons qui n'ont pourtant rien à voir, je vous l'accorde...). Quant à "Rosenrot", si beaucoup ne l'aiment pas vraiment, je la trouve vraiment sympa cette chanson, elle s'écoute très bien. Enfin, "Wo bist du", "Hilf mir" et "Feuer und Wasser" sont relativement sympas.

Pour conclure je dirais que c'est un bon album, mais qui ne reflète pas vraiment le style Rammstein (selon moi, hein)...

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  • 5 months later...

Comme beaucoup l'ont dit , le problème de Rosenrot est que c'est un album non travailler , ce qui est dommage car cela à défavoriser cet album mais aussi le suivant , car je pense que si Rosenrot aurais été travailler , LIFAD aurais été beaucoup moins médiocre , je m'explique.

Le problème est que Rosenrot n'a pas d'âme ( il est roux :ph34r: ) , ce que je veux dire c'est qu'à la base il devais s'appeller Reise, reise (vol 2) donc bon ça veut tout dire. Ce qui est dommage car prendre de bonnes chansons et les balancer sur un CD n'en fais pas un album . Et c'est ce manque de travail qui à bousiller LIFAD.

Car il y a un esprit Rosenrot qui est autant Rammsteinien que les autres mais cet esprit n'est pas assez travailler et donc par la suite trop proche du style Reise, reise et finalement le style Rosenrot se transforme en un style Reise, reise fade.. Le problème vient juste que pour moi ils n'ont pas assez travailler les chansons, arrêter moi si je me trompe mais chaque album de Rammstein est différent de l'autre car à chaque fois il y a un travail de A à Z pour un album .

Pour moi les musique avec le style Rosenrot sont :

Benzin , Mann gegen mann , Rosenrot , Stirb nicht vor mir , Vergiss uns nicht , Spring , car les chansons sont soit écrite POUR Rosenrot , même si c'est original au moins ça l'est jusqu'au bout , et d'autre on eu le temps de murir , Mann gegen mann qui datais de Mutter et Vergiss uns nicht , qui a surement été retraivailler pour Mein land. Et d'autre qui ont été suffisament travailler . Et Spring est pour moi vraiment nouveau et me fait penser à Mehr , c'est le même style , une atmosphère qui t'emporte.

Après les autres ca ne tient qu'à un fil , le style Rosenrot est là , calme , froid , grondant mais pas assez travaillez ce qui est dommage :

Wo bist du , Feuer und wasser , Ein lied , Zestören , Hilf mir .

C'est dommage , car si ils avaient travailler sur Rosenrot , ils auraient pu commencer à apporter des éléments de LIFAD , pour ainsi savoir quel étais la voix à suivre. Le problème de LIFAD est qu'il ne partais de rien , et il tâtonnais , ne sachant pas où aller . Ils auraient du tâtonner avec Rosenrot , en apportant de nouveau élément de façon minimes pour ainsi les développer dans l'album suivant. Ils ont toujours fonctionner comme ça. En gros >Herzeleid = Base > Sehnsucht = Base + Electro > Mutter = Base + Beaucoup électro + Mélodie > RR = Base - Electro + Beaucoup mélodie + choral.

Quand on regarde Eisenmann , on sait qu'elle provient des sessions RR/Rosenrot , on sent le style Rosenrot mais il y a des élément de LIFAD au niveau des guitare notament , et ça marche !!

Pour conclure , LIFAD est foirer car Rosenrot l'est aussi .

PS: Ils auraient du garder Te quiero puta! pour le retraivailler sur LIFAD.

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  • 7 months later...

Stirb nicht vor mir, le prochain single de pur Death Metal  :ph34r:

 

Je suis le seul à avoir découvert le " Ich Will... suce ma bite " sur la musique qui passe après l'interwiew ? :D

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Je suis très en retard...

 

Vous avez entendu ? L'influence de Richard dans l'interwiew ? 0:10 " I was like.... Wow " :lol:

Edited by AnthoXIV
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I was like, you know, as a baaaaand, yeah yeah you know, Emigrate is the recreation for Rammstein you know yeah yeah...

Une fois il avait été interviewer. Ce con a placé au moins 5 "you know" entre chaque mots de sa phrase. C'était assez beau.

Edited by Rammschneider
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Non, c'était une interview audio qui date du mois d'avril-mai dernier si je ne me trompe pas.
A un moment dans ta vidéo il se penche tellement qu'on aimerait bien qu'il tombe à la renverse.

Edited by Rammschneider
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  • 3 months later...
  • 2 weeks later...

Ma petite analyse se Rosenrot...

 

 

 

Les textes qui composent ce cinquième opus du groupe ont été écrits à la même période que Reise, reise (plus de détails ici). À l'origine il devait s'intituler Reise, reise vol. 2, nous pouvons ainsi penser que la cohérence générale des textes présente dans les albums précédents ne se retrouve pas dans celui-ci. Pourtant, Rammstein a choisit un autre titre abstrait qui prend son sens à la compréhension des différentes chansons.

 

L'image de la rose rouge est bien sûr toute symbolique et renvoie aux notion d'amour et de désir. Symboliquement, comme dans « Rosenrot », la rose rouge est l'image de ce que l'on cherche à obtenir à tout prix. La « fille » de la chanson est prête à sacrifier « son amoureux » pour obtenir la rose. Mais la quête est complexe et le jeune homme et la rose « tombent tous deux dans le vide ». Ainsi la rose est la métaphore de l'obsession.

 

Chaque extrait de Rosenrot narre une obsession. La première de toute, chez Rammstein plus particulièrement, est l'amour. Chacun désire être aimé, mais le but à atteindre n'est pas aisé. « Wo bist du » fait référence à l'idéal amoureux dont le narrateur est en quête. Il le cherche mais ne le trouve nul part : « Les jolies filles ne sont pas belles/ […]/ Je te cherche derrière la lumière ». Le « Où est-tu ? » raisonne comme un appel désespéré, comme si inconsciemment le narrateur savait que la quête est veine. C'est cette même thématique qu'aborde « Stirn nicht vor mir / Dont' die before I do » : les deux narrateurs cherchent l'amour, « Je sais qu'un jour / Quelqu'un m'aimera » dit l'un d'eux. Pourtant « Ne meurt pas avant moi » raisonne aussi comme l'appel à l'aide qu'est « Wo bist du ».

 

C'est la même rose rouge que décrit de manière plus métaphorique « Feuer und wasser ». Le narrateur décrit un amour impossible. Mais plus largement la chanson semble dire que l'homme et la femme, comme le feu et l'eau, sont si différents, « On ne peut les lier, ils ne sont pas apparentés », que l'amour est impossible. Nous ne pouvons atteindre la rose si ardemment désirée.

 

Face à ce constat d'une impossible rencontre entre homme et femme, l'amour homosexuel est alors vu comme un véritable idéal. Le narrateur utilise un vocabulaire positif pour décrire son existence : « Le destin m'a souri / Il m'a fait un cadeau » dit-il. L'homosexualité est à la fois un idéal amoureux et sexuel, à abri des incompréhensions entre les deux sexes. Cet idéal apparaît dans les vers suivants : « Je suis le coin de toutes les pièces / L'ombre de tous les arbres / Dans ma chaine ne manque aucun maillon », l'expression de la totalité s'oppose au manque exprimé dans « Wo bist du », « Stirn nicht vor mir / Dont' die before I do » et « Feuer und wasser ».

 

La rose rouge, la chose que l'on désir peut prendre des formes très diverses selon les individus. Si « Te quiero puta ! » est l'expression du désir sexuel à l'état brut, les envies peuvent être autres. Dans cette album, l'image de la rose rouge est plus particulièrement lié au feu, symbole, lui aussi, de la passion. Ainsi « Benzin » et « Hilf mir » sont l'expression d'un désir pyromane. « Benzin », dans l'esprit de « Te quiero puta ! » exprime sans détour l'envie, l'envie de détruire : « Donnez-moi de l'essence ». « Je suis attirée par le feu » dit la narratrice de « Hilf mir ». La jeune fille est attirée par le feu qui est ici symbole du désir comme la « petite rose » de « Rosenrot ». L'envie de jouer avec des allumettes et le feu qui la brûle est en réalité l'image du désir sexuel qui s'empare du corps de l'enfant qui devient adolescente. Et ce désir, s'il fait mal, il la fait naître à sa vie d'adulte : « je sors seule de la cendre ».

 

Le besoin de détruire, et pas seulement pas le feu, est la rose rouge de cet album. En effet, « Zerstören » est on ne peut plus explicite dans le désir de détruire qui est explicitement lié au plaisir sexuel avec les « Ja » orgasmiques de la fin de la chanson. Pour exister il faut « détruire » l'autre, le narrateur précise bien qu'il « ne faut pas que ça [lui] appartienne ». Ce désir de blesser autrui se retrouve dans « Spring ». La foule forme un cercle autour d'un homme se tenant « sur un pont assez haut » et l'encourage à se suicider, à sauter, alors que ce dernier « [voulait] seulement admirer la vue ». Alors le narrateur « lui donne un coup de pied par derrière dans le dos » et le tue.

 

« Ein lied » conclue cette album de manière symbolique. Dans cette chanson Lindemann évoque Rammstein comme étant lui-même une rose rouge, celle du public : « Chaque fois que vous êtes tristes / Nous jouons pour vous ». Cette rose là, les admirateurs du groupe peuvent l'atteindre. Rammstein rend à sa manière hommage aux fans et s'adresse de manière directe à eux. Et si Rammstein est la rose rouge du public, ce dernier est lui-même le rose rouge du groupe. Le désir de créer de la musique est aussi celui d'être écouté. Ainsi la rose rouge comme désir d'une relation idéale est atteinte, peut être cueillie dans cette relation si particulière entre le groupe et les oreilles/les cœurs qui les écoutent...

 

A priori, et de part l'histoire de sa création, Rosenrot paraît être un album moins travaillé et sans aucune cohérence. Nous avons pu voir que cela n'est absolument pas le cas. Le symbole de la rose rouge permet d'aborder de manière peut-être plus apaisée, voire détachée, le désir et la relation à l'autre. On y retrouve les thématiques chères à Rammstein : amour impossible, désir ardent, douleur des sentiments, violence physique. Ici la présence du narrateur dans chaque texte se fait plus présente que dans les albums précédents. Si Reise, reise se définit comme l'étape franchie de la maturité pour le groupe, Rosenrot, s'il se situe dans la continuité, marque tout de même un pas en avant : celui d'un certain détachement émotionnel. Lindemann rationalisera son écriture en proposant des textes plus symboliques et imagés dans Liebe ist für alle da.

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